
Bercés par une musique hypnotique, les êtres de la montagne s’endorment. Leurs rêves se forment alors sous les yeux des spectateurs grâce aux traits d’Émilie Tarascou, dessinatrice aux multiples outils. Un imaginaire qui s’installe autour de la question du temps et de l’espace et qui est renforcé par les plages d’improvisation instrumentales de Simon Kansara. Ainsi, la succession des tableaux nous plonge dans un voyage sensible et poétique, formel et symbolique, qui nous sensibilise à la cause environnementale sous un nouvel angle, celui de la contemplation